Bon, on y est presque, là.
J'avais trouvé le même lien que saintpierre.
À l'époque, et encore maintenant, celui qui monte le couteau n'est pas forcément celui qui fabrique les fournitures, et la marque ne permet pas vraiment d'éclaircir qui fait quoi.
D'accord aussi pour la possible faute de frappe Charrasse-Charasse, assez fréquente. Au prix du poinçon, fautif ou pas, il fallait qu'il serve.
Donc, bien que fabriqué à Perpignan avec des fournitures thiernoises, ce couteau ne semble pas avoir franchi la frontière espagnole.