Jeu de l'oie d' aviateur...14-18

juste comme ça pour vous montrer...

Un jeu de l'oie sans doute fait par un aviateur...

Papier et encre.

pourquoi un aviateur ?

pourquoi pas?

sympa

MIMICH a écrit:

pourquoi pas?

oui mais pourquoi pas aussi un gosse , un prisonnier , une bonne soeur , ...
rien ne dit que c'est un aviateur ...

reste que c'est un beau brol ...

Superbe !

48 : péquin allemand
49 : britannique (? )
91 : austro-hongrois
59 : bulgare ou russe
51 : américain
52 : officier de uhlan
88 : japonais
35 : officier allemand
36 : officier français
62 : italien (bersaglieri ?)
63 : marin français

salut,

le 49 c'est un belge avec bonnet à floche

oui le belge à toujours une belle floche!!!

nours a écrit:

MIMICH a écrit:

pourquoi pas?

oui mais pourquoi pas aussi un gosse , un prisonnier , une bonne soeur , ...
rien ne dit que c'est un aviateur ...

ou un homme de loi

Merci pour la correction.

victor a écrit:

ou un homme de loi

un homme de loi oisif

Ha bon? le parachute 14 18 ?

Ma foi

Le 13 février 1914, à Juvisy, le lieutenant-aviateur Jean Ors saute en parachute d'une hauteur de trois cents mètres depuis un Deperdussin piloté par Lemoine et atterrit sain et sauf.
Pourtant, au cours de la Première Guerre mondiale, le parachute de secours n'est en usage que sur les ballons d'observation, premier saut militaire le 17 novembre 1915 par Constant Duclos. les équipages partageant sans rémission le sort de leur avion ou dirigeable désemparé ; seul l'empire allemand en équipe ses pilotes, et seulement à partir de 1918. Outre des considérations d'ordre psychologique – il a même été écrit que certains état-majors avaient peur que les pilotes n'abandonnent un peu trop vite leurs avions en cas de danger –, ce retard est avant tout dû au fait que le parachute représente encore un poids significatif pour les appareils de l'époque, légers et de faible puissance, et une gêne pour l'équipage. Du côté allemand, les réticences officielles sont balayées au début de 1918 et le parachute allemand de type Heinecke sauve la vie de nombreux pilotes dont Hermann Göring.

Citation :

il a même été écrit que certains état-majors avaient peur que les pilotes n'abandonnent un peu trop vite leurs avions en cas de danger

Ce n'est pas qu'une légende. L'aviation militaire française a attendu je ne sais plus quelle année (bien après la 1ère GM) pour équiper les équipages avec ce prétexte.
Et l'excuse du poids supplémentaire...