montre originale

Bonjour à tous...je viens de faire l’acquisition de cette montre originale montée sur un roulement à bille....de marque Dunhill Paris....une inscription en dessous de la marque que je n'arrive pas à lire car c'est un peu effacé.....je ne trouve pas sur internet l'origine de cette montre mécanique...peut -etre un objet publicitaire?

Vous pouvez mettre plus d'une photo par message.
Et il faut choisir le deuxième lien affiché par servimg.

Necessaire fait.
Par contre, la qualité des photos !

oui....j'ai pas mieux

Les photos sont dans le style David Hamilton en pire.

Le mouvement est une ébauche Suisse A. Michel calibre 320, c'est un 10 1/2''' (vieux certe ! mais mes yeux fonctionnent encore )

Dunhill est un cigarettier qui par extension a tapé un peu dans tout (briquet, stylo, montre, etc...)

Pas franchement ma tasse de thé, objet publicitaire sans plus "l'habit ne fait pas le moine"

S'adresse plus à des collectionneurs de paquets de cigarettes ou des inconditionnels de la marque, mais en aucun cas un intérêt horloger.

Cerise sur le gâteau

c'est bien le même mécanisme.....

Tu doutais !

bah non .....

agemo a écrit:

Dunhill est un cigarettier qui par extension a tapé un peu dans tout (briquet, stylo, montre, etc...)

Dans les années 1890, Londres foisonne du bruit et de l'agitation caractéristique des grandes capitales mondiales - crissement des attelages lancés à grande vitesse, rythmique effrénée des sabots frappant le pavé et claquement incessant des fouets. C'est dans cette atmosphère que le père d'Alfred Dunhill, lança en 1877, sa florissante affaire sur Euston Road. Les équipements d'attelages, la sellerie et le cuir furent les principales composantes du décor dans lequel le jeune apprenti Alferd, alors agé de 15 ans, se forma à son métier. Henry Dunhill prit sa retraite en 1893, permettant ainsi à son fils, alors agé de 21 ans, de prendre la relève.
Alfred Dunhill releva rapidement le défi. La traditionnelle affaire familiale d'attelage se transforma bientôt en un commerce moderne et novateur, celui des équipements automobiles. "Dunhill's Motories" devint vite indispensable aux toutes nouvelles exigences des pionniers de la conduite automobile. La maison était en effet capable de subvenir à toutes les requêtes : de l'imposant manteau de cuir ajustable à tous les caprices météorologiques comme l'altimètre asistant le conducteur dans ses parcours escarpés, les tableaux de bords équipés de voltmètre et d'horloges ou encore les klaxons aux formes extraordinaires dont la musique retentissante aurait pu affoler le plus tranquille des charretiers. C'est d'ailleurs ainsi qu'il inventa une pipe munie d'un couvercle au dessus du fourneau afin de le tabac du conducteur ne soit pas projeté sur sa figure pendant qu'il conduit.

L'ouverture de plusieurs boutiques entre 1910 et 1920 dans le quartier de Mayfair donne le ton sur la volonté d'Alferd Dunhill de développer son commerce. C'est à la même période qu'il ouvrit une petite fabrique de pipes et d'accessoires associés aux fumeurs. Le travail à la main leur donnait l'éxclusivité et la qualité, le goût et l'invention du créateur - le design et le confort dans l'utilisation. Il est devenu évident que tôt ou tard ces produits auront une renommée mondiale. Une des inventions d'Alfred Danhill est lié à la guerre - le briquet. Pour l'ami qui a perdu une main au front, il a inventé le mécanisme permettant par un clic du pouce d'allumer le feu pour allumer une pipe.

Il ne se contente d'ailleurs pas seulement de fournir des équipements techniques, ses élégants accessoires automobiles faisant aussi fureur dans la haute société. Alfred sait également reconnaître les aspirations sociales de ses clients en créant des merveilles d'ingéniosité comme cette valise offrant tout le nécessaire à une parfaite collation, qui deviendra par ailleurs un des plus célèbre passe temps Anglais - un pique-nique à la campagne, même sous la pluie !

L'ère des véritables produits de luxe débute dans les années 20. Un bureau sur la fifth Avenue de New-York est inauguré en 1921, et un magasin supplémentaire voit le jour à Londres en 1923. Au milieu des années trente, Dunhill est considéré comme l'un des rendez-vous les plus prisés du luxe masculin. Papeterie, jeux de cartes, carnets et divers accessoires composent une offre toujours plus complète. A la fin des années septante, Dunhill offre, dans une vingtaine de pays, une gamme de plus de 3.500 produits de luxe dédié à l'homme, dont une collection de prêt-à-porter en 1976.

Familles royales, hommes politiques, princes indiens, diplomates, stars du cinéma américaines et beaucoup d'autres grandes figures telles que Pablo Picasso, Churchill, le Prince de Galles, Elvis Preysley, Frank Sinatra ont accompagné Dunhill tout au long de son histoire et en font désormais partie.

Merci tarz

Pour moi Dunhill n'est pas une marque de luxe actuellement, il fut un temps oui, mais maintenant non. à vouloir courir 36 lièvres ils sont rentrés dans le rang des marques généralistes.

Ouais se sont fourvoyé dans le tabac...

Mais juste pour dire que la came Dunhill vintage c'est pas mauvais...

Oui si on veut, là on tape dans les années 50. Peut-être un roulement SKF

ça ressemble plus a un objet publicitaire pour des pièces mécanique que pour du tabac.....même s'il est vrai que les cigarettiers n'avaient aucun scrupule à lacher leur pub sur n'importe quel support

Comme le note tarz :

Il ne se contente d'ailleurs pas seulement de fournir des équipements techniques, ses élégants accessoires automobiles faisant aussi fureur dans la haute société.

le briquet Dunhill années 70 se vend tres bien ...

Oui nours, les cigarettes aussi !!! mais à part cela Dunhill n'a plus la quote d'antan à force d'être trop généraliste il sont rentrés dans le rang !

je frimais a 16 ans avec le paquet Dunhill rouge façon coffret ...

et moi avec le paquet doré Benson & Hedges

Mon premier paquet de clopes c’était des "Sprint"...

ah moi le premier c'etait des Gauloise verte ! beurk ...

moi les gitanes maïs sans filtre de mon paternel , sont ou les toilettes

Moi aussi j'ai commencé par les gauloises vertes filtre puis les bleues sans filtres et ensuite les gitanes sans filtres aussi (l'arrache)....

gitane maïs sans filtre de mon parrain

mes premières expériences c'était des feuilles mortes de marronnier pilées et roulées dans une autre feuille de marronnier.
Une petite réserve de "tabac" dans un pot et une petite réserve de "feuilles" dans une boite.
C'était déjà le cigare, mais pas roulé sur les cuisses . J'avais 8 ans.

A dix ans bois fumant (liane de clématites séchées) pour faire comme les grands, mais rare car dégueu et ensuite vers 18 ans les cigarettes P4 à 18 cts les quatres, "la gauloise du pauvre" ....

ben moi , des boyards très parfumé,
et bon vaccin!!

Je dois être plus vieux que vous

Ou en avance sur mon age, après les lianes, il y avait encore des P4

Ben oui en 68 il y en avait encore

pareil les lianes ! ça brulait la gorge ...
j'ai eu aussi une periode amsterdamer parfumé d'une goutte de patchouli !

qui fume toujours ?