une valisette Vuitton *

d'aspect ancien...
mais sommes nous là en presence d'un vrai faux vieux où d'un faux vieux pas si vrai ?
zate is the queshion !
à toi de jouer jolie fleur !

pour moi, c'est faux!!!!

les belles ferrures !!!

T'as le cadenas ?

merci mich ! ça c'est de l'expertise !
t'es un pote !

le prob c'est que ça sent vraiment le vieux machin...
le metal ne semble pas de grande qualité...
mais le dedans est en croute de cuir retournée ce genre...
c'est un melange de tres bonne qualité et de suspect...
des copies tres ancienne ça existe ?

maman !

half-pint a écrit:

les belles ferrures !!!

T'as le cadenas ?

et toi...t'as le cadenas de ta ferrure ?

J'ai l'impression qu'on l'emmerde!!!

merci pour l'accueil...

est-ce que la théorie que chez Vuiton le dessin n'est jamais coupé, se confirme sur ta valise ?

j'avais pas vu ... les zoeils clignotaient pas

Ha bon???

la Vuitton je l'ai pas sous la main...
mais en gros 25 par 35 de dimenssions...
une petite valisette...
elle est pas d'hier c'est sur !

ala a écrit:

est-ce que la théorie que chez Vuiton le dessin n'est jamais coupé, se confirme sur ta valise ?

pas compris...

ala a écrit:

est-ce que la théorie que chez Vuiton le dessin n'est jamais coupé, se confirme sur ta valise ?

Chez Vuiton le dessin n'est jamais coupé, est ce que la théorie se confirme sur ta valise ?


Mince je ne peux pas caser le " que "

ils sont abordable les acides en banlieue ?

Nours ... pour moi il s'agit d'une vraie en tout cas pour le logotype ... elle doit être du début 20 ème ... mais je poursuis

1854 - création de la marque
mais le logotype : rond orné d’une fleur quadrilobée, puis un losange convexe, ajouré en négatif d’une étoile à quatre branches. Le même motif alterne en positif avec les initiales L et V, hommage légitime à son père
Existe , sur toile, depuis 1896 ---> tout à fait ça

Il faut trouver le produit adéquate pour nettoyer la toile

je suis pas specialiste mais en main elle semblait tres ancienne...
c'est les ferrures qui sont curieuse ! metal bon marché... une valisette debut XXéme serait minimum en laiton non ?

Effectivement c'est l'état des ferrures qui m'ennuie ... sur la serrure vois tu à l'intérieur ou à l'extérieur, peut etre effacé ou très attaqué par le temps ... gravé les initiale "LV" ?

Les ferrures devraient être en laiton ....

j'ai pas la valise chez moi...mais je me souviens tres bien d'initiales tres usés sur la grosse boucle centrale !
sur la photo c'est visible...

NOURS a écrit:

j'ai pas la valise chez moi...mais je me souviens tres bien d'initiales tres usés sur la grosse boucle centrale !

si tu as ces initiales sur la grosse boucle centrale ... tu ne dois plus avoir de doute .... il est possible aussi que tu trouves gravé dans le cuir à l'intérieur le nom de la marque avec l'indication du magasin parisien.

mais les ferrures devraient être en laiton

plus de doutes ? c'est si difficile que ça pour un faussaire de graver LV sur une boucle ?

Les copies LV sont relativement récentes ... je vais essayer de trouver la période du début des copies ....

les ferrures

Les copies c'est dans les détails que tu les reconnais ...

NOURS ....... il s'agit d'une fausse

tout et son contraire cette fleur

voilà ... le logotype est correct cependant mais :

- les ferrures étaient en laiton
- les valises avec une bordure en cuir surpiquée
- les serrures avec la forme pour une vraie clef de forme traditionnelle
- les finitions des ferrures ne sont pas conformes : toutes étaient numérotées par exemple

je vais te poster des images .... de vraies

Baptisée Alzer, Bisten ou Cotteville selon son format, la valise rigide mobilise de nombreux savoir-faire et autant de termes techniques pour rythmer les étapes d’une construction en strates, entre architecture et haute couture. Premiers à intervenir, les menuisiers bâtissent le fût, un squelette savamment composé de trois essences de bois : le peuplier, l’okoumé et le hêtre. Dans la pièce voisine, on découpe aux ciseaux géants et au coup d’oeil chacune des pièces de toile qui recouvriront plus tard la valise. Puis c’est le nervurage, pose à la colle d’une toile de coton, portant les initiales de l’ouvrier au crayon, qui renforce la structure. On passe ensuite à l’entoilage, le collage de la toile Monogram ajustée au millimètre, sans rupture dans les motifs et, encore une fois, sans autre guide que l’habitude du geste. Sur cette base, on installe les renforts : la lozine d’abord, pare-chocs de matériau composite inchangé depuis le XIXe siècle, est fixée avec force clous alignés, crochetés et égalisés (« matés ») avec une précision et une régularité d’horloger suisse. Puis les parures de laiton, coins et serrure numérotée sont posés par les serruriers et les ferronniers. De ces jeux de fixations, il ne subsiste pourtant rien quand on habille l’intérieur de toile « Vuittonite » sous les sangles griffées. Cerise sur le gâteau : le bichonnage, terme croquignolet qui cache un travail méticuleux de lustrage digne d’une voiture de sport, et l’application de l’étiquette qui porte l’immatriculation de la valise.

Source : Vuitton une valise lettrée